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Le Diois
Le Diois est une région montagneuse de la vallée de la Drôme. Géographiquement, elle recouvre le sud du massif du Vercors et le nord de la Drôme provençale.
Sa Communauté de communes regroupe environ 11 000 habitant(e)s répartis(e)s dans 52 communes dont la ville de Die, les villages de Châtillon-en-Diois, Luc-en-Diois et la Motte-Chalancon.
La capitale de cette région est la sous-préfecture de Die qui compte 5000 habitants.
La ville est située au pied de la montagne du Glandasse, barrière rocheuse sud du Vercors, qui culmine à 2 041 mètres.
Un tiers du territoire du Diois fait ainsi partie du parc naturel régional du Vercors.
La capitale de cette région est la sous-préfecture de Die qui compte 5000 habitants.
La ville est située au pied de la montagne du Glandasse, barrière rocheuse sud du Vercors, qui culmine à 2 041 mètres.
Un tiers du territoire du Diois fait ainsi partie du parc naturel régional du Vercors.





Les Migrations dioises
Le phénomène migratoire n’est pas réservé aux hommes. Chez l’homme, on doit distinguer les migrations où une personne décide librement de changer de pays et les migrations sous la contrainte en raison de la misère, de la violence, y compris celle des guerres. On doit aussi distinguer les migrations où des habitants quittent le Diois et celles, inverses, où des étrangers au Diois s’y installent.
Pour les émigrations massives du Diois, deux sont remarquables : l’exil des Huguenots, de 1680 à 1770 environ, partis s’installer surtout en Allemagne en raison de l’intolérance de Louis XIV, et l’exil rural des années 1950/1960 suite à des contraintes économiques.
La colonisation mais aussi la décolonisation, surtout après 1962, incite à l’installation de Maghrébins et d’Africains sur le territoire.
L’Europe et sa libre circulation facilite l’installation de Néerlandais, de belges, d’Anglais, souvent à l’origine d’initiatives économiques et culturelles.
Depuis quelques années, des réseaux de solidarité se sont mis en place dans le Diois pour soutenir l’arrivée de migrants originaires d’Afrique, d’Iran ou d’Afghanistan venus d’Italie par la montagne. Des personnes réfugiées originaires d’Irak et de Syrie sont accueillies aussi grâce à la mobilisation d’habitants.
Pour les émigrations massives du Diois, deux sont remarquables : l’exil des Huguenots, de 1680 à 1770 environ, partis s’installer surtout en Allemagne en raison de l’intolérance de Louis XIV, et l’exil rural des années 1950/1960 suite à des contraintes économiques.
La colonisation mais aussi la décolonisation, surtout après 1962, incite à l’installation de Maghrébins et d’Africains sur le territoire.
L’Europe et sa libre circulation facilite l’installation de Néerlandais, de belges, d’Anglais, souvent à l’origine d’initiatives économiques et culturelles.
Depuis quelques années, des réseaux de solidarité se sont mis en place dans le Diois pour soutenir l’arrivée de migrants originaires d’Afrique, d’Iran ou d’Afghanistan venus d’Italie par la montagne. Des personnes réfugiées originaires d’Irak et de Syrie sont accueillies aussi grâce à la mobilisation d’habitants.